Au menu du conseil communal de Vielsalm, les bâtiments scolaires, la ligne 42, les gares et leurs guichets, le plan de cohésion sociale, etc.

Jérôme Derochette et Jacques Gennen

Suite et fin du compte rendu de la séance du 24 mars 2021. Au menu: les investissements dans les bâtiments scolaires, les gares et leurs guichets, le plan de cohésion sociale, l'aide aux clubs sportifs, etc.

Motion visant au maintien d’un guichet à la gare de Gouvy et d’un point d’arrêt de train à Grand-Halleux

Au travers de cette motion, le bourgmestre précise vouloir soutenir les démarches liées au guichet de Gouvy, une gare frontière au statut particulier et indique qu’il a interpellé le ministre Gilkinet le 4 février. Le Collège a été interpellé par les personnes qui y travaillent et qui sont dans l’incompréhension. Pour les Salmiens, il s’agit de la gare la plus proche pour obtenir un billet. Il est également question de rappeler la volonté de réinstaurer un point d’arrêt à Grand-Halleux. 

Sybille Maka intervient : « Voici donc une motion de plus pour défendre un service public essentiel pour notre population, nos navetteurs et les étudiants en particulier. 

Elle a été précédée d’une motion adoptée en 2015 et qui rappelait « qu’une gare sans guichet peut entraîner inévitablement un sentiment d’insécurité et des risques de dégradation du lieu et qu’elle ne permettra plus l’accès aux toilettes existantes en l’absence du personnel. » Cette motion soulignait également que « l’offre de services via le guichet de la gare, limitée à certaines plages horaires, constitue déjà un minimum en dessous duquel on ne peut descendre » et dénonçait « le fait qu’en cas de panne du guichet automatique, il y a un supplément à payer dans le train. » 

On sait qu’il n’y a plus de guichet à Vielsalm. En contrepartie, nous pouvons – et c’est une bonne chose - compter sur la collaboration de la gérante de la sandwicherie installée dans la salle des guichets pour l’ouverture et l’entretien de la salle d’attente et des toilettes publiques de la gare.

Sans remettre bien entendu en cause cette collaboration, je m’interroge : est-ce suffisant et des plages horaires suffisantes sont-elles couvertes tous les jours de la semaine ? 

En 2019, nous demandions notamment par une nouvelle motion la réouverture de la gare de Grand-Halleux. Sans succès. Avez-vous seulement reçu une réponse de la SNCB ? 

Mettre à l’abri des intempéries le guichet automatique et ses utilisateurs est évidemment une bonne chose. Notre motion du 26 août 2019 réclamait déjà cet aménagement peu coûteux. Ici encore, avez-vous reçu une réponse de la SNCB ? 

Bref, on peut se demander si on ne perd pas son temps en adoptant de telles motions, mais on y croit encore. Il serait aussi intéressant, à mon sens, que dans la motion proposée ce soir, de relever l’inconfort des voitures qui desservent notre ligne 42 et dans certains cas d’insalubrité. »

Élie Deblire : « On ne perd jamais son temps à réclamer son dû. J’avais été déçu de la réponse du ministre précédent par rapport à la revendication de la réouverture du point d’arrêt à Grand-Halleux, mais il ne faut pas non plus s’illusionner : la réouverture d’un point d’arrêt, c’est un travail de longue haleine. Il faut taper sur le clou. 

Sur l’inconfort et le nettoyage, je vous entends bien : on peut l’ajouter dans notre courrier, mais en dehors de la motion. Au niveau de la réponse, par rapport au guichet automatique et le point d’arrêt de Grand-Halleux, j’ai renvoyé un courrier en janvier dernier au ministre, mais je n’ai toujours pas de réponse. 

Par rapport au courrier du 4 février sur la fermeture du guichet, là j’ai reçu une réponse assez complète et ce que nous avons mis en œuvre au niveau de Vielsalm répond vraiment à la réflexion du ministre. 

La SNCB et le ministre remettent la patate chaude dans les mains des communes en disant on est prêt à vous soutenir dans le cadre de projets communaux que vous auriez pour faire vivre à nouveau les gares dont on va voir les guichets se fermer.

À Vielsalm, c’est ce qu’on a mis en route, évidemment, ça coûte aux communes ; est-ce que c’est logique ? D’autant plus que dans notre cas nous payons quand même une redevance annuelle dans le cadre du bail emphytéotique qui nous lie à la SNCB alors que nous rendons une série de services. Je vais à nouveau interroger quant à sa légitimité. » 

François Rion : « Merci, Sybille, pour ton intervention car elle rejoint tout à fait celle que nous avions l’intention de faire. Cette motion a tout à fait sa raison d’être, on la salue et nous allons la soutenir. 

C’est vrai que la réouverture d’un point d’arrêt est très compliquée, mais il faut le demander quand même et taper sur tous les clous disponibles comme le bourgmestre l’a dit. 

Sur l’inconfort des voitures, je pense qu’il faut l’ajouter directement dans la motion. Ne serait-il pas très utile de le faire dès maintenant ? »

Élie Deblire acquiesce.  

François Rion : « J’ai autre chose à dire à notre ministre et qui nécessitera sans doute aussi une motion : je pense à la ligne de chemin de fer sur le zoning de Gouvy qui est tout à fait inutilisée. Les financements de cette ligne étaient assez compliqués avec apparemment beaucoup de partenariats privés, mais c’est dommageable d’avoir une ligne pour le transport de marchandises qui est là, mais qui ne sert à rien. 

Gouvy souffre de l’arrivée des camions sur son zoning, mais notre commune également puisque certains camions viennent de la Baraque de Fraiture et rejoignent le zoning de Courtil via Salmchâteau. Nous allions le signaler au ministre, mais ce serait utile de voir si on ne peut pas s’allier à Gouvy sur ce problème-là. »

Élie Deblire : « Je n’ai pas de soucis avec ça ! Je mettrai ma casquette de président d’Idelux  car ces investissements ont été financés par l’intermédiaire de cette intercommunale. Il est vrai qu’actuellement il n’y a plus de trains qui utilisent cette voie. À Gouvy, il y en a eu, mais la firme qui utilisait la voie s’est découragée tellement il y a eu une inertie de la part d’Infrabel, avec peu de wagons mis à disposition et peu de créneaux horaires. »

Anne Klein : « Je me suis laissé dire que si ça ne marchait pas, c’est parce qu’en amont ou en aval, il n’y a pas de quais de déchargement compatibles avec ce qui est mis sur les trains. »

Élie Deblire : « Non ! Tout est vraiment au top de ce côté-là. »

La motion est donc adoptée à l'unanimité moyennant la modification évoquée au cours du débat.

Motion de soutien aux clubs sportifs et aux associations sans but lucratif

Le bourgmestre précise que cette nouvelle motion a probablement moins de sens puisqu’il a été décidé par le gouvernement wallon d’octroyer 40 euros par affilié au niveau des clubs sportifs et se demande si ce sera suffisant. Il indique aussi que la motion proposée porte aussi sur les besoins culturels, les besoins des mouvements de jeunesse et des associations de village. 

(Les sportifs des différents clubs sont impatients de reprendre l'entraînement et les rencontres !)

Stéphanie Heyden : « Effectivement, ça ne mange pas de pain, surtout en soutien à ces secteurs lourdement impactés par la crise.

Notre groupe a juste un souci avec le considérant suivant : « Considérant que jusqu’à présent, les aides financières émanant du Gouvernement wallon et/ou du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles à destination de ces structures sont faibles voire inexistantes, malgré les appels à l’aide répétés des gestionnaires desdites structures ou des fédérations ». Or, tant le Gouvernement wallon que le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ont pris diverses mesures d’aide bien avant la dernière que vous venez de citer. »

Élie Deblire indique que son objectif n’est pas de politiser le débat et propose de supprimer ce considérant qui ne correspond pas à la réalité.

François Rion : « Cette motion ainsi que la suivante, même sans vouloir trop la politiser, on sait quand même que tout ça est en plein débat et qu’il y a toujours du mouvement et qu’il y a énormément d’interpellations faites par les députés et par les anciens ministres CDH. 

Ça ne veut pas dire que c’est un mauvais combat, mais ça veut dire qu’il est déjà politisé. Nous avions choisi de nous abstenir sur ces deux motions, non pas qu’elles soient mauvaises, même si on peut regretter que la première soit plus orientée vers les associations sportives que culturelles. Nous nous sommes dit que nous n’étions pas les porte-parole du CDH : nous vous laissons donc ces deux motions. »

Au vote, le groupe Ecolo s’abstient tandis que la majorité et Comm’Vous votent en faveur de la motion.

Motion au sujet des bâtiments scolaires

Comme on le sait, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles doit répartir entre les différents réseaux d’enseignement 230 millions d’euros provenant du plan de relance de l’Union européenne. La motion présentée par la majorité revendique une répartition de ces fonds sur la base de la clef « un enfant égale un enfant » quel que soit le réseau auquel il appartient.

Le ministre Frédéric Daerden se base, lui, sur la répartition des fonds entre les différents réseaux au cours de ces cinq dernières années et sur un cadastre précis des besoins des établissements d’enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour retenir la répartition suivante : 58,5% pour WBE, 23% pour l’officiel subventionné et 18,5% pour le libre subventionné.

(Des élèves de l'école communale à la découverte de la forêt et de ses hôtes !)

Pour Élie Deblire, le réseau libre et le réseau communal et provincial n’auront pas leur dû puisque la clef un enfant égale un enfant n’est pas respectée par le ministre Daerden. Il souligne que les prises de position évoluent et que l’on peut espérer un changement de position de la part du Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et il ajoute : « Compte tenu des déclarations du ministre, on peut lui laisser le bénéfice du doute et imaginer qu’il va faire d’autres propositions. Cela ne me pose pas de problème de retirer cette motion, je ne veux pas en faire une affaire politique. »

Il rappelle également que la Fédération Wallonie-Bruxelles a été condamnée à augmenter la part de subventionnement par élève au profit du réseau libre.

Jérôme Derochette indique qu’il s’abstiendra si un vote est demandé et il s’en explique. Selon lui, le cœur du problème, ce sont précisément les réseaux. Il déplore une vision partisane dont découlent des décisions souvent technocratiques au détriment des acteurs de terrain. 

Sur les bâtiments scolaires, s’il entend bien les arguments développés de part et d’autre, il insiste sur le fait qu’au-delà des guerres entre réseaux et entre partis, il y a un constat pragmatique dont souffrent certains élèves et certains enseignants : le délabrement des bâtiments. « Ce que je déplore surtout dans cette motion, c’est le fait qu’on n’insiste pas suffisamment sur le besoin de soutenir les établissements qui en ont besoin sans distinction de réseau. Ce qui importe vraiment, c’est le bien-être de celles et ceux qui passent des heures dans ces bâtiments, pas le réseau auquel ils appartiennent », conclut-il. 

Jacques Gennen indique quant à lui qu’il votera contre cette motion si elle est présentée au vote tout en adhérant au principe d’un enfant égale un enfant. 

Il rappelle les obligations spécifiques et les besoins de l’enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles révélés par un cadastre précis des bâtiments concernés. Il souligne également que le ministre Daerden s’est notamment fondé sur la répartition des investissements en faveur des différents réseaux réalisés au cours des dernières années par un gouvernement dont le Cdh faisait partie. 

Il insiste sur le fait que le ministre n’a pas une position figée et que l’ouverture existe pour une meilleure répartition des fonds. Il estime dès lors la présentation de cette motion inopportune d’autant plus que le dossier semble manifestement politisé s’il en juge d’après les déclarations récentes de Maxime Prévot, le président du Cdh.

Le groupe écolo a également manifesté son désaccord par la voix de François Rion au cours du débat sur la motion concernant les clubs sportifs.

Au terme du débat, le bourgmestre, comme il l’a laissé entendre, ne soumet pas cette motion au vote.

Plan de cohésion sociale 2020-2025

Après avoir remercié les associations partenaires du PCS, le Plan de Cohésion Sociale (CPAS, AMO, ASBL Lire et Ecrire, Commune...) et particulièrement Sandra Verrecas, coordinatrice du PCS et Fanny Dawans, coordinatrice du service social du CPAS, la présidente du CPAS Aline Lebrun présente le rapport financier et le rapport d’activité 2020.

Des dépenses ont été réalisées pour un montant de 41.620,77 euros notamment pour les actions suivantes : l’impulsion de la Régie des Quartiers de la Salm, le bar à soupe du CPAS, les animations de l’AMO dans le quartier de Cahay, un soutien à l’ASBL Lire et Ecrire pour ses cours d’alphabétisation, la prise en charge du matériel pour la fabrication de masques, etc.

Pour 2021, le budget s’élève à 45.825 euros (avec, en recettes le subside wallon de 36.660 euros et le subside communal de 9165 euros).

De nouvelles actions sont présentées par Aline Lebrun :

- une collaboration avec l’ASBL Solaix pour la guidance et/ou le suivi de publics confrontés à une problématique de consommation et de dépendance à l'alcool ou à diverses addictions ;

-  un espace-rencontre pour mères célibataires. Au vu du contexte actuel, il s'agira dans un premier temps de la mise en place d'un groupe Facebook à destination des mères célibataires afin d'apporter soutien, conseils organisationnels et espace d'échange entre femmes vivant une situation de monoparentalité. Ce groupe sera chapeauté par les services de l'AMO, de la plateforme "Pas à pas" du CPAS et du PCS.  Des rencontres en présentiel animées par l’AMO L’Étincelle seront aussi organisées dès que possible de même que des conférences thématiques pour un public plus large ;

- un transport de proximité solidaire en collaboration avec l’ASBL Médic Assistance pour les déplacements administratifs ou judiciaires de bénéficiaires précarisés et non mobiles. L'ASBL "Médic Assistance" mettra à disposition un véhicule et des bénévoles pour la prise en charge des demandes de déplacements non médicalisés. 

Aline Lebrun évoque également une intervention financière à la hausse pour permettre la continuité des cours d'alphabétisation dispensés par l'ASBL Lire et Ecrire et pour soutenir le démarrage effectif de la Régie des Quartiers de la Salm. 

Des actions sont bien entendu prolongées comme le Conseil Consultatif Communal des Aînés, le Conseil Consultatif Communal des Jeunes, les ateliers culinaires intergénérationnels, le Repair Café et le projet Mobijob (aide pour le permis de conduire et mise à disposition temporaire d’une voiture pour celles et ceux qui sont en difficulté financière et qui débute dans la vie professionnelle).

La présidente du CPAS termine son exposé en rappelant que le PCS coordonne ou participe à différentes plateformes professionnelles, comme la plateforme de lutte contre la pauvreté infantile "Pas à Pas", la plateforme d'insertion socioprofessionnelle de l'Instance Bassin Enseignement qualifiant Emploi Formation, la plateforme intégration et interculturalité...

Jacques Gennen souligne la qualité des nouvelles actions présentées et rappelle que pour les déplacements à l’hôpital ou vers certains services médicaux, les mutualités socialiste et chrétienne ont leur service de transport.

Élie Deblire souligne que le service de transport solidaire a un objectif différent et qu’il s’agit d’un plus à activer uniquement à la demande du CPAS. 

François Rion : « Il est aussi possible de mettre quelque chose en place très vite pour rejoindre les centres de vaccination. »

Élie Deblire : « Nous avons 2 minibus du CPAS mis à disposition avec 8 bénévoles. Il y a peu de gens à conduire pour le moment car il y a peu de vaccins disponibles et donc de grosses difficultés à trouver un rendez-vous. Pour le moment, nous avons une équipe suffisante. Il faudra évidemment être attentif aux besoins futurs. Il précise encore qu'un courrier a été envoyé aux personnes âgées de 65 ans et plus. » 

Au vote, c’est l’unanimité pour approuver les rapports financiers et d’activités 2020 ainsi que les modifications et ajouts des actions.

Projet de cogénération chez UNILIN (ex-Spanolux)

Dans les divers, François Rion interroge le bourgmestre : « Concernant le projet Unilin, on a regardé la présentation vidéo. Ce n’est pas ce qu’on attendait en matière de réunion publique évidemment. N’est-il pas possible de rendre publiques toutes les questions posées par écrit et adressées au Collège et à la société demanderesse, ainsi que les réponses qui leur sont données ? »

Élie Deblire : « Je vais interroger la société. Celles qui sont arrivées à la Commune, chacun pourra y avoir accès. Ça ne pose pas de problème puisque le rapport d’incidences environnementales devra tenir compte de toutes les questions et des remarques qui devront faire l’objet de réponses. »

Autres décisions

- Approbation du compte 2020 de la fabrique d’église de Salmchâteau qui dégage un boni de 19.508 euros du fait, notamment, d’offices moins nombreux.

- Approbation de la cession gratuite d’une parcelle quartier Jules Barry par la Société Wallonne du Logement au profit de la commune de Vielsalm. Les riverains souhaitent valoriser ce terrain et y mener une action d’embellissement avec l’aide du personnel communal.

- Approbation d’une convention d’emphytéose, d’une durée de 27 ans et moyennement le versement d’un euro symbolique, entre l’ASBL « Comité du quartier Jules Bary » et la commune de Vielsalm. Le bourgmestre précise que seul le local est cédé. 

- Approbation d’une convention d’occupation à titre précaire et temporaire d’une pièce de l’ancienne école communale de Neuville avec Monsieur Dominique Thomas, le facteur d’orgues bien connu qui souhaite y installer provisoirement son atelier.  La location est fixée à 125 euros par mois et Monsieur Thomas devra également assumer le coût des consommations d’énergie. Le bourgmestre précise que la volonté du Collège est toujours de vendre le bâtiment. Stéphanie Heyden précise que la cour manque d’entretien et le bourgmestre répond qu’une attention sera portée à ce point.

- Approbation de la prolongation de la convention d’adhésion pour une durée de 3 ans à l’ASBL « Panathlon Wallonie-Bruxelles », soit pour les années 2022-2024. Marc Jeusette précise que, malgré la crise Covid, la participation aux 1000 km pour remercier les héros du quotidien qui luttent contre le virus a été assurée. C’est l’une des seules actions menées en 2020 compte tenu de la crise.

- Approbation de l’adhésion à la centrale d’achat technique et informatique de la Province de Luxembourg.

- Approbation du cahier des charges et du montant estimé d’un marché de fournitures pour l’achat de matériaux pour des travaux divers effectués par les services ouvriers communaux.

- Approbation du cahier spécial des charges de la vente des bois de printemps fixée le 16 avril à la Baraque de Fraiture sur le site de la piste de ski, en principe à l’intérieur, mais si nécessaire à l’extérieur.

- Adhésion à la centrale d’achat de l’Intercommunale Idelux-Projets publics (un point qui a provoqué un long débat entre le bourgmestre et François Rion très critique par rapport au montage retenu. Son groupe votera contre cette adhésion).

- Approbation des conditions de recrutement d’un agent technique.

- Décision de recruter 4 agents statutaires.

- Approbation d’un nouveau projet d’acte d’achat du local situé à proximité de la gare et appartenant aux établissements Payon en vue de sécuriser son occupation par le comité du quartier de la gare.

- Approbation de diverses subventions en nature. 

- Approbation du plan d’entreprise de la RCA (régie communale autonome chargée de la gestion des infrastructures sportives) pour la période 2021-2025, d’un subside d’un montant maximal de 343.440 euros et du budget 2021 (5.807 euros en positif avec une intervention communale de 324.000 euros). Thibault Willem précise qu’il s’agit d’une année charnière puisque cette année est la première année de fonctionnement réel qui est également marquée par la reprise de la piscine communale.